Nous pensons concrètement à:
- Fréquente réflexion avec la commission des jeux en vue d’une meilleure application de la réglementation en matière de licences et leurs renouvellements.
- Limitation du nombre de licences E, par analogie avec les licences A,B et F, ce qui signifie une plus-value pour les acteurs existants et un premier pas pour instaurer un accès à la profession.
- Possibilité de synergie avec la fédération Horeca et aux autres unions professionnelles pour défendre nos intérêts communs.
- Un comité équilibré et démocratique en vue de défendre objectivement les intérêts de chaque individu.
- Suivre de près les nouvelles tendances nationales-et si nécessaire internationales-en matière d’évolution technologique et juridique des jeux de hasard afin de transmettre l’information de façon permanente aux membres.
- Agir uniquement en fonction de la réalisation de ces objectifs.
Notre structure est géré par un Conseil d'Administration avec un bureau restreint composé de :
Présentation du nouveau website (http://www.bngo.be) dans les deux langues nationales. Elections de 4 membres au conseil d’administration, de 6 membres régionaux et d’1 représentant spécifique pour les salles de jeux.
Première réunion officielle de BNGO et adhésion de nouveaux membres.
Publication des statuts de BNGO au moniteur belge.
La dénomination BNGO, ou Belgian National Gaming Organisation, et le projet de statuts est présenté, amélioré et approuvé par un comité élargi, assisté du service juridique.
Vu la grande affluence à la réunion préparatoire, nous nous voyons fortement réconfortés dans notre conviction et un premier comité fondateur s’attaque à la dénomination et à un projet de statuts pour une nouvelle union professionnelle.
Réunion préparatoire à Bruxelles en vue d’établir une nouvelle union professionnelle démocratique.
Un petit groupe d’exploitants belges ne se retrouvent plus dans les unions professionnelles existantes UBA et BGA-notamment en matière d’informations et de démocratie. De plus, on constate qu’il n’y a plus que 30% des détenteurs de licences B et E affiliés à une de ces unions professionnelles.